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ETAPE 10
CERESTE - JOUQUES
Samedi 15 Septembre
(55 km prévus)

 

 

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Pour s’éviter un énième poussage nous évitons la coupe du GR9 en continuant  le chemin goudronné qui poursuit (Valbonette 14h34) par une belle piste « blanche » vallonnée dans la colline du Défends.  La Ste Victoire se dessine sur l’horizon.
14h54, 35km nous atteignons le carrefour Les Cartons. On quitte la piste pour le GR9 qui descend sur l’arête vers la Turquerie. On jardine un peu pour trouver le départ du GR vers La Biadouire, le GPS nous recale au poil. C’est drôle qu’il faille chaque fois passer par la case « cagade » pour suivre la trace au GPS ?!
15h30, 36.3km on passe le carrefour de chemins La Royère – Bicharde.
Simple formalité pour rallier Mirabeau (15h44, 38.5km) puis Le Pont de Mirabeau (16h01, 41.3km) sur la Durance (qu’on avait quitté à Espinasses).
Recherche du GR de l’autre coté du pont qui enjambe l’autoroute. On ne trouve pas le départ, mais au vu des courbes de niveau, on préfère le bitume à la punition.
Ce sera donc par la D11. 16h30, un petit arrêt barre énergétique qui va bien, avant d’entreprendre la longue montée sur le plateau (16h52, 47.6km).
A la cote 401, (17h13) nous délaissons le bitume pour un chemin puis un bout de sentier qui rejoint Bèdes. Çà sent l’écurie. Propriétés cloturées en camps retranchés, pas sympa le coin !
Le GR démarre à gauche dans un fond de ruisseau, au coin d’un grillage. Descente à pieds bien sûr, sous la chapelle Notre-Dame de La Roque. Passage peu rassurant sous un surplomb de roches pourries. Nous continuons à descendre entre des murets à présent, puis nous débouchons quasiment sur … les toits de Jouques. Bon ! On a encore loupé une bifurcation et va falloir remonter. Ouf ! Un étroit passage (une endroune en Provençal) entre deux maisons nous permet de regagner une rue et la place centrale.
17h57, 55km, fin de la rando.
Madame Lest là. On embarque les vélos dans le kango.

Etape facile

Dénivelé + : 1126 m

Temps: 9h22

Vitesse moyenne: 5.75 km/h

Distance étape: 55 km

Distance finale de la rando: 633 km

 

Epilogue :
Dimanche, décompression : les Michel, tout comme moi, sommes « tout mous ».
La forme ne reviendra qu’à partir du Mercredi, et, sans le sac à dos, maintenant, les bosses en vélo de route c’est « fingers in the nose ».
Même Michel L. s’est surpris, la semaine suivant la randonnée, à passer facilement des bosses qui auparavant le mettait « chiffon ».

A la prochaine !

 

 


cartes

Nous faisons nos emplettes à la superette qui fait face à l’hôtel  Aiguebelle.
8h35, départ. Grand beau. Le trio est devenu duo. Après un habituel passage en poussette sous La Roque, montée facile sur la crête de Chante-Perdrix pour rallier Montjustin (9h17, 4km). Arrêt photos, et zou mai ! J’ai encore perdu mes lunettes. Je me retape la descente et coup de pot je les vois briller au milieu de la piste. 500m, à remonter c’est pas cher payé. Cette fois, c’est d’un lacet, doublé d’élastique et d’adhésif que j’improvise un lien entre lunettes et sacoche de cintre. Au pire, elles peuvent partir dans les rayons, mais au moins …
9h38, fin de l’intermède « lunettes ». Passage un peu raidos après la traversée de l’Aiguebelle, ensuite on longe un champ et on retrouve une belle piste … montante ! Of course !
10h19, 8km Luzernes ruines. Le temps orageux d’hier a laissé des portions de piste humide. Le grip est meilleur, mais les mollets sont en vracs, alors …
10h38, 10km, fin de la montée.
10h57, 11.7km, après la trop bonne descente du vallon de Jacques, nous contournons la bastide de Roumagaou par le GR, un peu caché au bord du champ que nous devons contourner. En restant sur la piste qui coupe le vallon de Roumagaou on peut éviter ce passage de GR … Ouais ! Mais quand on aime …
Beau chemin dans la descente du vallon du Pissaïre. Cligno à gauche, cote 442, pour une roborative partie de manivelles ? Ben non ! De poussage. Fin de la bosse 11h45, 16.1km, soit près d’1km d’ascension dont 500m pédibus. Descente d’un difficile PR avant de retrouver une piste qui s’inclinera vers Les Vaulongues et le débouché sur la D956 que l’on suit jusqu’à La Bastide des Jourdans.
12h15, 19km, boutiques fermées. Emporter le ravito, c’était le bon choix.
On s’aperçoit qu’il nous manque la carte de La Bastide. Avec le GPS on peut s’en passer. On roulotte tranquille pour trouver un coin sympa pour la pause. Un bosquet de pins vers Château de Pradine (12h47, 24.3km) sera des plus accueillant.
13h35, pour une bonne digestion se frapper la rampe d’accès à Grambois, en poussage, évidemment !!! En récompense on s’arrête de nouveau pour une pause café (14h00).