Grande Traversée du Jura -GTJ-

 

 

 

 

Le Bilan

 

La GTJ n’a pas été aussi facile que ce que l’on imaginait.

Pensez donc a avoir un entraînement minimum (une sortie par semaine) et comme Michel L vous pourrez la parcourir, même en faisant de nombreux passages à pieds.

Les coups de culs sont nombreux, et les pistes et sentiers sont souvent détruits par les engins de débardage des grumes de bois.

Priez pour que les prairies soient sèches, sinon galères assurées.

Evitez les pneus trop légers aux flancs très fragiles (Michel L et ses Racing Ralph montés d’origine sur sa bécane). Prendre une enveloppe de secours à tringle souple pour la transporter pliée.

Pensez à prendre des couvre-chaussures qui protègerons vos petons de la boue et du froid possibles.

Le poncho (très grand) et le pantalon de pluie sont indispensables pour éviter les « noyades » sous orage (Peter dans la 1ère étape).

Les gants à doigts longs sont préférables et une paire de gants en polaire fine ou de gants anti-pluie ne sera pas de trop dans le paquetage.

Les jambières vous protègerons de la fraîcheur matinale.

La météo à 8 jours est fiable mais ne tentez pas le diable en minimalisant les affaires à emporter si elle prévoit grand beau. Localement le temps peut être surprenant.

Prévoyez de l’eau en conséquence, car l’eau des fontaines n’est pas potable.

Bien qu’ayant pris la précaution de cibler les étapes demandant la préparation d’un casse-croûte au gîte ou à l’hôtel, nous nous sommes fait piéger par l’annotation de ravitaillement possible à Plans d’Hotonnes et Petit-Abergement.

 

Les paysages sont superbes, pensez à ne pas toujours pédaler la tête dans le guidon et majorez le temps de parcours des multiples arrêts photos ou roulage tranquille de dégustation de nature que vous ne manquerez pas de faire dans les combes et les bois.

 

Avec ces quelques conseils de « vécu », bonne GTJ